Comme le titre l’indique, ce manga particulier est réalisé par une personne dégoûtante. À la lumière de cela, nous avertissons nos lecteurs que cet article approfondira certains thèmes troublants, tels que l’homicide, le cannibalisme et la nécrophilie. Par conséquent, nous vous recommandons d’exercer votre discrétion tout en lisant plus loin. Il est important de noter que nous n’approuvons en aucune façon cette publication et, à ce titre, nous avons choisi de ne pas divulguer son titre. Cependant, si vous êtes curieux de connaître le contenu de ce manga, nous vous suggérons de consulter l’analyse complète de Sydsnap sur sa chaîne YouTube au fur et à mesure qu’elle approfondit ce livre.
Issei Sagawa, de Kobe, au Japon, s’est livré à des crimes indicibles alors qu’il étudiait la littérature comparée à Paris. Il a commis des actes odieux de meurtre, de cannibalisme et de nécrophilie, laissant une traînée de terreur et d’horreur dans son sillage. Ses actions ont choqué et consterné le monde, et son nom est devenu synonyme des formes les plus méprisables du comportement humain. Malgré l’énormité de ses crimes, Issei Sagawa a réussi à échapper à la justice, laissant de nombreuses questions sans réponse et des émotions non résolues dans l’esprit et le cœur des personnes touchées par ses actes.
Selon Serena d’ATI , la fascination d’Issei Sagawa pour le cannibalisme remonte à son enfance, lorsqu’il a vu son oncle et son frère jouer. En vieillissant, son intérêt pour la consommation de chair humaine s’est intensifié, alimenté par les représentations médiatiques occidentales du cannibalisme. Malgré son obsession croissante, Sagawa a réussi à réprimer ses pulsions pendant 32 ans. Cependant, ses désirs se sont finalement avérés trop forts pour résister, le conduisant à s’installer à Paris pour étudier la littérature. C’est là qu’il a commencé à agir sur ses impulsions inquiétantes, tentant de commettre des crimes contre des prostituées. Ces tentatives infructueuses n’ont fait qu’accroître sa fascination pour le cannibalisme, le conduisant sur un chemin sombre et terrifiant qui se traduirait finalement par une horreur inimaginable.
La descente d’Issei Sagawa dans la dépravation s’est poursuivie lorsqu’il a rencontré un certain camarade de classe, avec qui il s’est lié d’amitié et a finalement été assassiné de sang-froid. Il a utilisé ses talents de manipulateur pour gagner la confiance de Renee avant de saisir l’opportunité de mettre fin à ses jours avec une arme à feu. Issei a alors commis l’acte impensable de cannibalisme, consommant des parties de sa chair et accomplissant des actes nécrophiles ignobles. Incroyablement, il a gardé des parties congelées de son corps pour les consommer plus tard, fournissant des preuves effrayantes de ses obsessions tordues, comme le rapporte Ozbourne .
Malgré tous ses efforts pour dissimuler ses crimes, les actions d’Issei ne sont pas passées inaperçues. Un passant a remarqué deux valises dégoulinantes de sang dans un parc et a signalé la découverte aux autorités. Immédiatement après cela, les autorités ont arrêté Issei et l’ont envoyé dans un établissement de santé mentale. Cependant, un vide juridique lui a permis de s’admettre dans un autre service psychiatrique, ce qui aurait finalement pour résultat sa liberté continue.
Même après son extradition vers le Japon, Issei a réussi à échapper à la justice et à jouir de sa liberté. De plus, Kaplan du New York Post affirme qu’Issei Sagawa a non seulement réussi à échapper à la justice mais a également bénéficié de la notoriété de ses crimes. Ces dernières années, il est devenu une célébrité mineure au Japon, apparaissant en tant qu’invité dans de nombreuses émissions en direct et auteur de mangas qui dépeignent graphiquement ses horribles actes de meurtre et de cannibalisme. Issei a même fait des apparitions dans des reconstitutions soft-core classées X, où il a mordu des acteurs et glorifié davantage ses crimes.
Le fait qu’Issei ait pu profiter de ses actions et gagner en notoriété en conséquence ne fait qu’ajouter l’insulte à l’injure pour ceux qui ont été touchés par ses crimes.
Il mentionne même dans une de ses interviews :
Le public m’a fait le parrain du cannibalisme, et j’en suis heureux.Issei Sagawa
Les reportages sur Issei Sagawa suggèrent qu’il a fait preuve d’un manque de remords inquiétant pour ses actions tout au long de sa vie. Plutôt que d’exprimer un sentiment de culpabilité ou de chagrin pour ses crimes odieux, Sagawa semblait envisager de discuter de ses atrocités comme une activité normale et banale. Il a même exprimé le désir de répéter ses actions avant sa mort, fournissant une preuve effrayante de son manque total d’humanité.
Le fait que Sagawa ait pu vivre le reste de sa vie sans faire face à la justice ne fait qu’ajouter au sentiment d’indignation et d’injustice ressenti par les personnes touchées par ses crimes. Comme l’a rapporté le Japan Times , Sagawa est décédé à l’âge de 73 ans, n’ayant jamais été emprisonné pour ses actes horribles de violence et de cannibalisme. Malgré le passage du temps, la mémoire d’Issei Sagawa et la terreur qu’il a infligée à ses victimes continueront de hanter et de déranger les gens du monde entier.
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Les Mangas
Selon The Japan Times , le manga a donné des détails sanglants sur son meurtre et son cannibalisme.
Dans une vidéo récente publiée par Sydsnap sur YouTube, elle fournit une description troublante du manga. Selon Sydsnap , également connu sous le nom de Sydney, le manga est écrit du point de vue du tueur, offrant une expérience immersive à la fois dérangeante et dégoûtante. À travers les yeux du tueur, les lecteurs sont exposés à ses pensées et à ses émotions menant au meurtre, ainsi qu’à sa vie après l’acte odieux.
Pire encore, le manga plonge dans tous les détails horribles des actions du tueur, décrivant les images, les sons et les odeurs associés à ses actes méprisables. Le manga fournit également une représentation vivante et troublante des pensées les plus intimes du tueur, y compris toutes les pensées dégoûtantes et prolongées tout au long de ses actes horribles.
Sydsnap continue de raconter le contenu graphique et dérangeant du manga, notant les descriptions explicites du tueur de ses moments de cannibalisme. Elle décrit comment le manga dépeint le tueur démontant une certaine partie du corps d’une femme et savourant sa texture et son goût avec des détails troublants.
Elle ajoute qu’il existe même une page spécifique qui décrit de manière vivante l’intense anticipation et l’excitation du tueur alors qu’il se prépare à consommer une partie du corps de sa victime. Le manga va même jusqu’à décrire les pensées du tueur d’aimer transformer le corps de la femme en une sorte de fondue japonaise connue sous le nom de « shabu-shabu ».
Le manga continue de représenter le tueur coupant des morceaux supplémentaires et les savourant, tout en exprimant des pensées de plus en plus dérangeantes sur le cannibalisme, disant comment c’est ce qu’il attend depuis longtemps.
Le manga comporte plusieurs pages pénibles avant de passer à l’arrestation du tueur et à l’emprisonnement qui a suivi. L’histoire détaille sa vie derrière les barreaux et ses réflexions sur les événements qui ont conduit à sa capture.
Alors que le manga touche à sa fin, il y a une page qui se concentre sur la victime du tueur, Renee. À côté d’un dessin d’elle, il y a un mot simple mais effrayant écrit à côté de son image : « owari », qui se traduit par « la fin ». Cette page austère et obsédante rappelle la perte de vie tragique et insensée aux mains du tueur.
